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Agenda
Cliquez pour ouvrir la version imprimable de vos rendez-vous événementiels.
Postez vos réactions sur la page Infospi de Google+ ! Appel à témoins : La fraternité est une richesse, témoignons ensemble de son actualité. Votre témoignage nous intéresse pour écrire un livre blanc des fragilités et un livre des merveilles… Diaconia 2013 sur Facebook ! Tweettons ! Site de l’UDV Notre diocèse

Partage sur l’évangile de saint Marc
avec le père Bernard Bourtot
Dates Samedi 5 mai
et 2 juin
de 9h à 11h30
Lieu Centre Spirituel Mariste 22 Rue Victor Clappier 83000 Toulon
Inscriptions Père Bernard Bourtot 04 94 93 29 50

Fête de sainte Rita
Sainte Rita
Dates Dimanche 27 mai
messe à 9h30
Lieu Centre Spirituel Mariste 22 Rue Victor Clappier 83000 Toulon
Inscriptions Père Paul Loubaresse 04 94 93 29 50

Exposition du photographe Patrick Palmer
sur le thème : "L'exclusion, ce n'est pas la pauvreté !"
Nombreuses photos prises au cours des ateliers de Kaïré.
Date le 21 mai à 18 h
Lieu à Kaïré impasse Mirabeau à Toulon
Voir l'affiche sur le site de l'UDV…

JPentecote 2012
Jeunes pros, inscrivez-vous à JPentecôte 2012 à Paris !
Dates du 26 au 28 mai 2012
Lieu Paris
Twitter @JPentecote
Facebook Jpentecôte 2012
Site Jpentecôte 2012
Mail jpentecote12@cojp.cef.fr
Mobile 06 14 36 64 00
Mobile 06 25 09 43 22

Fête des familles
Fête des familles
Date et lieu Le 26 mai 2012 à la Castille
sur le site du diocèse de Fréjus-Toulon

Les 30 ans
de la diaconie
du Var

La diaconie du Var fête ses 30 ans Le 31 mai 2012 à la Castille.
18h30 Messe d’action de grâce sous le chapiteau Jean-Paul II présidée par Mgr Dominique Rey
20h Grande table du partage
21h Soirée festive avec animations, témoignages, rétrospective…
Inscriptions avant le 2 mai au
sur le site du diocèse de Fréjus-Toulon
Pour tout problème d'hôtellerie ou de transport, n'hésitez pas à nous contacter par téléphone au 04 94 89 09 47 ou par mail à m.deleplanque.fsl@gmail.com

7ème rencontre de l'IRIS
La quête du bonheur à travers l’action sociale et la solidarité
Intervenant Père Nicolas Buttet
Date 11 juin 2012
Inscriptions obligatoires avant le 1er juin, dans la limite des places disponibles
04 94 24 90 01
formation@udv-services.fr
Voir l'article sur le site diocésain…

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À l’attention des administrateurs, bénévoles et salariés des associations membres de l’UDV.
L’édito L’interview Inscrivez-vous en ligne sur le site diocésain de Fréjus-Toulon.

Toulon, le 3 mai 2012.

Nous témoignons d'une vision de l'homme et de la société.

Père Michel Denis
Père Michel Denis,
aumônier de l'UDV.

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Chers amis,

Il y a quelque chose de tout à fait spécifique dans notre réseau : nous avons d’une part le statut d’association régie par la loi 1901, ce qui nous conduit à être partenaires d’autres structures sociales et interlocuteurs d’instances publiques. D’autre part, il se trouve que nous sommes aussi la diaconie en acte de l’Église, nous accomplissons un service d’Église qui n’a pas voulu se réduire à une œuvre de bienfaisance. En effet, conscient des valeurs universelles portées par l’Évangile, nous témoignons d’une vision de l’homme et de la société fondée sur la dignité de la personne humaine, le respect de chacun et la solidarité. Ces enjeux sont vitaux et nous les défendons.

Cette posture originale fait qu’ensemble, à travers notre travail, nous œuvrons pour une transformation sociale, nous témoignons de la primauté de l’humain sur l’économie et la bureaucratie. Nous témoignons qu’au-delà des questions biens pratiques qui nous préoccupent, il y en a d’autres qui relèvent du sens de la vie et de notre destinée spirituelle.

Dans une vraie démocratie, l’État se doit d’être laïc, mais la société avec toutes les initiatives qui germent en son sein est multiconfessionnelle. C’est une réalité, alors comment ne pas prendre en compte le fait que chez tout être humain, même athée, il y a une aspiration au bonheur véritable, une quête de la vérité ? C’est dans cette perspective que sans prosélytisme, nous pouvons être fiers de ce que nous portons et proposons. Nous essayons d’incarner un amour qui nous dépasse, dans une attention aux plus démunis qui interpelle la société. Le Christ lui-même nous le demande : « Chaque fois que vous l’avez fait a l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » (Mt 25 ,40). Une telle parole nous renvoie à cette dignité de l’homme, image de Dieu, et à la fraternité.

Il est bon pour chacun d’entre nous de se le rappeler pour lever de temps en temps la tête du guidon, reprendre souffle, et recoller au dynamisme qui a toujours porté nos associations.

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Emmanuel Grossetête
Emmanuel Grossetête

Emmanuel Grossetête
Coordinateur de Sichem

  • Emmanuel, tu es le coordinateur de l’association Sichem, peux-tu nous dire tout le cheminement qui t’a amené jusque là ?
  • J’ai fait au départ une formation de géographie en sciences humaines, où on étudie notamment les phénomènes migratoires et les problèmes liés aux peuplements. Ayant grandi au Mali, et ayant fait de belles rencontres, j’ai eu un regard ouvert sur le monde, et j’ai eu envie de le découvrir. Par ailleurs, des liens forts avec l’Arche de Jean Vanier et la communauté de Point cœur m’ont éduqué à l’attention des plus pauvres que ce soit en raison de leurs capacités intellectuelles ou de leurs pauvretés matérielles. Après huit ans de maturation, je suis parti avec un ami, Yohann, faire un petit tour du monde à vélo, « Détour Fraternel » en visitant douze communautés de l’Arche et douze communautés de Points cœur. De retour, j’ai travaillé comme formateur dans les énergies renouvelables. Mais je me suis vite aperçu que ce travail ne faisait pas mon bonheur et j’ai démissionné. A la faveur d’une ordination diaconale dans le var d’un ami de Points cœur, j’ai rencontré Gilles Rebèche qui m’a proposé de travailler dans la diaconie, comme coordinateur de Sichem. J’ai peu après rencontré Charlotte qui est devenu ma femme un an après.
  • Parles-nous de Sichem.
  • Ce nom vient du lieu où Abraham rencontre et accueille des étrangers qui se révèleront être des anges. Cela vient nous dire qu’il nous faut avoir un regard neuf en accueillant des personnes qui viennent souvent avec un lot de problèmes parfois très difficiles à résoudre. Ce nom de Sichem vient me rappeler qu’ils peuvent m’apporter beaucoup plus que je ne leur apporte. Notre rôle est comme celui du samaritain qui conduit la personne en difficulté rencontrée sur le bord de la route jusqu’à l’auberge, et ce n’est pas une image ! Nous sommes des médiateurs qui voulons accueillir ces gens d’une manière digne, sans les perdre de vue ensuite. Il y a un gros travail de sensibilisation, de défense de ces personnes, il nous faut être prêt à intervenir d’une façon réactive dans des lieux où personne ne va les rejoindre. Bien entendu, on ne pourrait pas travailler sans un réseau de partenaires dont le Secours Catholique, l’U.D.V et le diocèse de Fréjus-Toulon. Nous avons connu en effet des situations de crise que nous avons pu surmonter grâce à l’accueil du domaine de La Castille, de la paroisse cathédrale et de quelques autres paroisses.
  • Y-a-t-il quelque chose que tu as envie de dire ? Un coup de gueule ?
  • Avant d’être un problème, les étrangers et les migrants sont porteurs d’une richesse et d’une culture. On ne peut pas les réduire à des chiffres, des statistiques, ou des masses indistinctes. Ce sont des individus, des êtres avec des parcours de vies. Ils répondent à un prénom, sont porteur d’une histoire et façonnent le monde à leur façon. Arrêtons de raisonner en les percevant comme des masses anonymes et voyons la singularité des personnes. Chacune nous interroge sur notre capacité à accueillir l’autre, l’étranger en difficulté qui toque à notre porte. Le Christ lui-même ne s’est-il pas comparé à un migrant n’ayant pas même une pierre où reposer sa tête ?

Emmanuel Grossetête est interviewée par le Père Michel Denis.

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Pâques dans nos associations

Un numéro spécial – hors abonnement des Cahiers de l’Atelier en partenariat avec la Fondation Jean Rodhain et Diaconia 2013 sous la direction de Mgr Defois.

Devant la pauvreté qui s’accentue et la justice sociale qui régresse que peuvent les chrétiens ? Doivent-ils se résigner à cet état des choses ? Doivent-ils porter secours aux plus précaires au risque de décréter ce qui est bon pour eux, sans prendre en compte leur parole. Doivent-ils d’abord les écouter et travailler à leur laisser une place centrale dans la société et dans l’Eglise ? Faut-il qu’ils choisissent entre la nécessité de construire une société plus juste et l’urgente priorité de témoigner d’une présence aux cotés des plus pauvres, avec eux ? Que signifient la diaconie, le service du frère, dans ce contexte ?

Vous pouvez vous procurer ce numéro (11 € l’exemplaire) en envoyant le bon de commande joint accompagné de votre règlement à Laurence PATRICE – Les Editions de l'Atelier – www.editionsatelier.com

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    Ligne directe 01 45 15 20 24
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